VISITANTES

VISITANTES
DOMINICANOS SOMOS. Vea las más leídas de la semana en la columna lateral derecha de este blog. / DLRD, desde el 1ro. de septiembre de 2005 en la W.W.W.

sábado, 15 de octubre de 2011

El barco ebrio


      El barco ebrio / Le Bateau ivre.


El barco ebrio (Le Bateau ivre en el original francés) es un poema en verso de 100 líneas escrito por el poeta francés Arthur Rimbaud, a los 17 años en el verano de 1871 en la casa de su niñez en Charleville al norte de Francia

El barco ebrio
Según iba bajando por Ríos impasibles, / me sentí abandonado por los hombres que sirgan: / Pieles Rojas gritones les habían flechado, / tras clavarlos desnudos a postes de colores.

Iba, sin preocuparme de carga y de equipaje, /con mi trigo de Flandes y mi algodón inglés. / Cuando al morir mis guías, se acabó el alboroto: / los Ríos me han llevado, libre, adonde quería.

En el vaivén ruidoso de la marea airada, / el invierno pasado, sordo, como los niños, / corrí. Y las Penínsulas, al largar sus amarras, / no conocieron nunca zafarrancho mayor.

La galerna bendijo mi despertar marino, / más ligero que un corcho por las olas bailé / -olas que, eternas, rolan los cuerpos de sus víctimas- / diez noches, olvidando el faro y su ojo estúpido.

Agua verde más dulce que las manzanas ácidas / en la boca de un niño mi casco ha penetrado, / y rodales azules de vino y vomitonas / me lavó, trastocando el ancla y el timón.

Desde entonces me baño inmerso en el Poema / del Mar, infusión de astros y vía lactescente, / sorbiendo el cielo verde, por donde flota a veces, / pecio arrobado y pálido, un muerto pensativo.

Y donde, de repente, al teñir los azules, / ritmos, delirios lentos, bajo el fulgor del día, /más fuertes que el alcohol, más amplios que las liras, / fermentan los rubores amargos del amor.

Sé de cielos que estallan en rayos, sé de trombas, / resacas y corrientes; sé de noches... del Alba  /exaltada como una bandada de palomas. / ¡Y, a veces, yo sí he visto lo que alguien creyó ver!

He visto el sol poniente, tinto de horrores místicos, / alumbrando con lentos cuajarones violetas, / que recuerdan a actores de dramas muy antiguos, / las olas, que a lo lejos, despliegan sus latidos.

Soñé la noche verde de nieves deslumbradas, / beso que asciende, lento, a los ojos del mar, / el circular de savias inauditas, y azul y glauco, el despertar de fósforos canoros.

Seguí durante meses, semejante al rebaño / histérico, la ola que asalta el farallón, / sin pensar que la luz del pie de las Marías pueda embridar el morro de asmáticos Océanos.

¡He chocado, creedme, con Floridas de fábula, / donde ojos de pantera con piel de hombre desposan / las flores! ¡Y arcos iris, tendidos como riendas / para glaucos rebaños, bajo el confín marino!
       
¡He visto fermentar marjales imponentes, / nasas donde se pudre, en juncos, Leviatán!  / ¡Derrubios de las olas, en medio de bonanzas, / horizontes que se hunden, como las cataratas. / ¡Hielos, soles de plata, aguas de nácar, cielos / de brasa! Hórridos pecios engolfados en simas, / donde enormes serpientes comidas por las chinches / caen, desde los árboles corvos de negro aroma!

Quisiera haber mostrado a los niños doradas / de agua azul, esos peces de oro, peces que cantan. / ––Espumas como flores mecieron mis derivas / y vientos inefables me alaron , al pasar.

A veces, mártir laso de polos y de zonas, / el mar, cuyo sollozo suavizaba el vaivén, /me ofrecía sus flores de umbría, gualdas bocas,  / y yacía, de hinojos, igual que una mujer.

Isla que balancea en sus orillas gritos / y cagadas de pájaros chillones de ojos rubios / bogaba, mientras por mis frágiles amarras  / bajaban, regolfando, ahogados a dormir.

Y yo, barco perdido bajo cabellos de abras, / lanzado por la tromba en el éter sin pájaros, / yo, a quien los guardacostas o las naves del Hansa / no le hubieran salvado el casco ebrio de agua, libre, humeante, herido por brumas violetas, / yo, que horadaba el cielo rojizo, como un muro / del que brotan ––jalea exquisita que gusta / al gran poeta–– líquenes de sol, mocos de azur que corría estampado de lúnulas eléctricas,  / tabla loca escoltada por hipocampos negros, /cuando julio derrumba en ardientes embudos, / a grandes latigazos, cielos ultramarinos, que temblaba, al oír, gimiendo en lejanía, / bramar los Behemots y, los densos Malstrones,  / eterno tejedor de quietudes azules, yo, añoraba la Europa de las viejas murallas

¡He visto archipiélagos siderales, con islas / cuyo cielo en delirio se abre para el que boga: / ––¡.Son las noches sin fondo, donde exiliado duermes, / millón de aves de oro, ¡oh futuro Vigor!?

¡En fin, mucho he llorado! El Alba es lastimosa. / Toda luna es atroz y todo sol amargo:  / áspero, el amor me hinchó de calmas ebrias. / ¡Que mi quilla reviente! ¡Que me pierda en el mar!

Si deseo alguna agua de Europa, está en la charca / negra y fría, en la que en tardes perfumadas, / un niño, acurrucado en sus tristezas, suelta / un barco leve cual mariposa de mayo.

Ya no puedo, ¡oleada!, inmerso en tus molicies, / usurparle su estela al barco algodonero, / ni traspasar la gloria de banderas y flámulas / ni nadar, ante el ojo horrible del pontón.

Jean Arthur Rimbaud (FRANCIA: Charleville, 20 de octubre de 1854 – Marsella, 10 de noviembre de 1891)


Le Bateau ivre (Jean Arthur Rimbaud) 
Comme je descendais des Fleuves impassibles,
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles,
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.

J'étais insoucieux de tous les équipages,
Porteur de blés flamands ou de cotons anglais.
Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages,
Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais.

Dans les clapotements furieux des marées,
Moi, l'autre hiver, plus sourd que les cerveaux d'enfants,
Je courus ! Et les Péninsules démarrées
N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.

La tempête a béni mes éveils maritimes.
Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots
Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes,
Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots !

Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sûres,
L'eau verte pénétra ma coque de sapin
Et des taches de vins bleus et des vomissures
Me lava, dispersant gouvernail et grappin.

Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème
De la Mer, infusé d'astres, et lactescent,
Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême
Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;

Où, teignant tout à coup les bleuités, délires
Et rhythmes lents sous les rutilements du jour,
Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres,
Fermentent les rousseurs amères de l'amour !

Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes
Et les ressacs et les courants : je sais le soir,
L'Aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes,
Et j'ai vu quelquefois ce que l'homme a cru voir !

J'ai vu le soleil bas, taché d'horreurs mystiques,
Illuminant de longs figements violets,
Pareils à des acteurs de drames très antiques
Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !

J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies,
Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs,
La circulation des sèves inouïes,
Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !

J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries
Hystériques, la houle à l'assaut des récifs,
Sans songer que les pieds lumineux des Maries
Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !

J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides
Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux
D'hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides
Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux !

J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses
Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan !
Des écroulements d'eaux au milieu des bonaces,
Et les lointains vers les gouffres cataractant !

Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises !
Échouages hideux au fond des golfes bruns
Où les serpents géants dévorés des punaises
Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !

J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades
Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants.
- Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades
Et d'ineffables vents m'ont ailé par instants.

Parfois, martyr lassé des pôles et des zones,
La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux
Montait vers moi ses fleurs d'ombre aux ventouses jaunes
Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux...

Presque île, ballottant sur mes bords les querelles
Et les fientes d'oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds.
Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles
Des noyés descendaient dormir, à reculons !

Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses,
Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau,
Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses
N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ;

Libre, fumant, monté de brumes violettes,
Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur
Qui porte, confiture exquise aux bons poètes,
Des lichens de soleil et des morves d'azur ;

Qui courais, taché de lunules électriques,
Planche folle, escorté des hippocampes noirs,
Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques
Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;

Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues
Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais,
Fileur éternel des immobilités bleues,
Je regrette l'Europe aux anciens parapets !

J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles
Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur :
- Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles,
Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ?

Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes.
Toute lune est atroce et tout soleil amer :
L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes.
Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer !

Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache
Noire et froide où vers le crépuscule embaumé
Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche
Un bateau frêle comme un papillon de mai.

Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames,
Enlever leur sillage aux porteurs de cotons,
Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes,
Ni nager sous les yeux horribles des pontons.


El barco ebrio (Traducción de Ángel José Batisstessa)

Cuando yo descendía por ríos impasibles,
Dejaron de guiarme mis buenos sirgadores:
Chillones Pieles Rojas, como a blancos sensibles,
Los habían saetado en postes de colores.

Poco me preocuparon esas tripulaciones;
Una vez terminadas sus crueles bataholas,
Yo, transporte de trigo flamenco o de algodones
Ingleses, a mi gusto proseguí por las olas.

Corrí en el chapoteo de fuertes marejadas,
Aún más imperturbable que cerebros de infantes,
Y las mismas Penínsulas desamarradas
No soportaron nunca vaivenes más triunfantes.

La tempestad bendijo mi despertar marino.
Más liviano que un corcho, sobre el agua agitada
Diez noches he bailado en revuelto destino
Sin recordar los faros de estúpida mirada.

Grata como a los niños la manzana jugosa
Penetró el agua verde en mi casco de pino
Y, arrastrando el arpeo y el timón, presurosa
Lavó manchas y vómitos azulosos de vino.

¡Me bañé, desde entonces, en el vasto poema
Del mar, del mar infuso de astros y lactescente,
Donde en azules verdes, a veces, la suprema
Sombra de algún ahogado se hunde, pálidamente;

Donde tiñendo, raudos, los fondos azulinos,
delirios, ritmos lentos bajo el diurno fulgor,
Más vastos que las liras y más fuertes que finos
Alcoholes se fermentan las pecas del amor!

Yo conozco los cielos que estallan, sé las lomas
Acuosas, las resacas, las trombas; sé la tarde,
Toda el alba exaltada cual pueblo de palomas,
Y he visto lo que el hombre sospecha en vano alarde.

He visto el sol manchado de místicos horrores
Iluminando larga coagulación violeta,
De dramas muy antiguos al parecer actores,
Contemplé los oleajes de lontananza inquieta.

He soñado con besos en ojos de los mares,
He soñado la noche verde con resplandores
Níveos, el fluir de savias, los bruscos despertares
Azules y amarillos de fósforos cantores.

Mes tras mes he seguido, igual que a vaquerías,
Histéricas, las olas en su asalto pujante,
Sin pensar que en su marcha fulgente las Marías
Llevasen del hocico al Océano jadeante.

¿Sabéis?, he descubierto increíbles Floridas:
Los ojos de panteras son flores entre humanas
Epidermis, los iris se tienden como bridas,
Bajo el cielo marino, a glaucas caravanas.

¡He visto fermentando los pantanos enormes,
Cestas en cuyos juncos se pudre un Leviatán;
En medio de las calmas cataclismos informes,
Lejanas cataratas que a los abismos van!

¡Cielos de brasa, heleros, oleaje nacarado,
Restos de encalladuras en los golfos brumosos
Donde el pie de los árboles de ramaje enroscado
Ruedan grandes serpientes de aromas tenebrosos!

¡Oh yo hubiese mostrado a un niño esas doradas
De la gran ola azul, esos peces cantantes!
Yo florecí de espumas al partir de las radas
Y, en vientos inefables, tuve alas por instantes.

Mártir, algunas veces, de zonas fatigosas,
El mar cuyo sollozo suavizaba mi arfada,
Me aplicaba sus flores de amarillas ventosas
Y quedaba como una mujer arrodillada.

Península que mece en sus bordes querellas
De aves estrepitosas con ojuelos dorados,
Fui a pique; entre mis cuerdas, sumidos tras mis huellas,
A dormir descendían, de espalda, los ahogados...

¡Y yo, barco enredado entre las cabelleras
Profundas, en el éter sin pájaros perdido,
Yo, esqueleto embriagado que hanseáticas veleras
Nunca hubiesen pescado, con desdeñoso olvido.

Yo que flotaba loco, con los flancos cubiertos
De lúnulas eléctricas e hipocampos crinudos,
Cuando cálidos Julios volcaban los abiertos
Cielos ultramarinos en ardientes embudos,

Yo que trémulo oía el mugir encelado
De Behemots y de Malstroms, retumbantes tifones,
Perenne navegante de un azul serenado,
Como añoro la Europa de viejos malecones!

Yo vi los archipiélagos siderales, las islas
Con sus cielos abiertos a todo bogador:
¿Es allí donde duermes, allí donde te aíslas
Áureo millón de pájaros, oh futuro Vigor?

Sí, ya he llorado mucho. Las albas son dolientes.
Atroz es toda luna, triste la luz solar.
Ya el amor me ha colmado de torpezas fervientes.
¡Oh, que mi quilla estalle! ¡Oh, que me arrastre el mar!

Yo deseo de Europa la oscura lagunita
Donde, al caer la tarde que se muere olorosa,
Suelta un niño en cuclillas, con tristeza infinita,
Un barquichuelo frágil como una mariposa.

¡Ya no es posible, oh baño de olas, como antes
Adelantarse a otros transportes de algodones,
Ni cruzar el orgullo de enseñas tremolantes,
Ni nadar bajo el duro mirar de los pontones!

Arthur Rimbaud
Poema: Texto completo
Fuente: Pedro Conde Sturla
Fuente 2: Jaquemate / Francisco Méndez

Claro y Codetel acosan clientes


Hemos recibido denuncias fehacientes y comprobadas de personas que se sienten acosadas por las compañías Claro y Codetel, y su sistema de cobros por medio de grabaciones a los teléfonos fijos. Cuando un cliente se atrasa, se inicia una tanda de llamadas para recordar fechas, cortes y recargos; sin ninguna consideración. La práctica es enfermiza, tres y cuatro veces diariamente y a horas tan altas del día como son las 7:59 p.m.

Igualmente son desesperantes en los celulares, la cantidad de promociones, recordatorios, concursos y pendejadas que Claro y Codetel se mantienen enviando a sus abonados, por medio de mensajes. El hecho de que uno esté usando los servicios de esta compañía no le da derechos a estar importunando a sus clientes con spam's. Molestan en las horas de sueño, en el horario de trabajo y en los momentos de ocio.

Sería bueno que Claro y Codetel tomen nota de las quejas de sus usuario y descontinúen estas prácticas molestosas que van en detrimento de la imagen de su empresa.
Nota: Si alguno de nuestros visitantes está pasando por esta situación háganoslo saber en la casilla de opiniones.
Juan Santos / Desde La República Dominicana

viernes, 14 de octubre de 2011

Atrapan defecador en serie / Vídeo


                             Kenneth Martin Sorsony


Detienen en una ciudad de Florida al 'defecador en serie'
En un vídeo se ve cómo el joven llega a una escuela con un rollo de papel dispuesto a dejar uno de sus 'regalos', a los que solía acompañar de una nota

La Policía de Florida ha detenido a una persona a la que llevaba semanas buscando y que había sido bautizada por los medios locales como el "defecador en serie" y que en varias ocasiones depositó sus heces ante la puerta de una escuela de la localidad de Ocala.

Las autoridades locales estudiaron las imágenes de un vídeo en las que pillaron in fraganti al "bandido intestinal", como también le llaman hoy otros medios, y que resulta ser Kenneth Martin Sorsony, un joven de raza blanca de 23 años.

Según detallaron las autoridades locales, tras casi un mes de su primera deposición en las escaleras de la escuela Fort King de Ocala (Florida), los responsables del centro no habían conseguido identificarlo, por lo que la Policía instaló una cámara oculta, tomó imágenes y las distribuyó para pedir la colaboración ciudadana.

En las imágenes se ve cómo este joven llega con toda la tranquilidad a la puerta de la escuela con un rollo de papel higiénico en la mano, dispuesto a dejar uno de sus "regalos", a los que solía acompañar de una nota, cuyo contenido no ha querido ser desvelado por la Policía.

El diario local The Gainesville Sun asegura que el joven dijo a los agentes que le interrogaron que sus actos se debían a "malos espíritus" y que era consciente de que necesitaba ayuda.


EFE / Miami

Tinte de pelo mata adolescente de 17 años

           Tabatha McCourt

Tabatha McCourt, de 17 años, falleció a los pocos minutos de extenderse el tinte por el pelo, supuestamente por la reacción de una sustancia química llamada p-fenilendiamina
Tan solo hacía unos minutos que se había teñido el pelo cuando la jovenTabatha McCourt, de tan solo 17 años, murió entre gritos agónicos por una supuesta reacción alérgica a algún componente del tinte, segúnpublica «Daily Mail», noticia, de la que se hace eco el diario Qué.es.

La adolescente se encontraba en casa de su amiga Heather Goodhall, enAirdrie (Escocia), cuando sucedieron los hechos. «Ella empezó a gritar «'no, no' y el novio de mi madre la abrazó y trató de calmarla. Fue realmente aterrador», asegura Heather.«El tinte sólo había estado unos veinte minutos cuando se levantó y comenzó a tirarse frenéticamente del pelo», explicó Heather.Tabatha fue trasladado al Hospital General de Monklands, Lanarkshire, donde falleció por una supuesta reacción alérgica a una sustancia química en el tinte llamada p-fenilendiamina.
ABC.es

Gómez Díaz saca a Miguel Guerrero del canal 15


        Juan Ramón Gómez Díaz, empresario de televisión y contratista de obras del Estado.

      Miguel Guerrero, comunicador y productor de programas.

El programa matutino de televisión “Portada 15″ fue sacado de la programación del Canal 15 a partir del 1 de noviembre, por su propietario Juan Ramón Gómez Díaz.

El alegato que el propietario de la emisora de televisión esgrimió fue, que le pagarán cinco veces lo que paga actualmente Guerrero. Nos gustaría saber en DLRD quién puede  pagar más que los patrocinadores conque cuenta el desplazado comunicador actualmente, los cuales son: Banco Popular, Grupo León Jimenes, Banco BHD, Banco Ademi, Fundación Brugal, ARS Palic, Radio Centro, la empresa de seguridad Seprosa, Cemento Cibao, Seguros Universal, Fundación AES Dominicana, y Lavandería Royal.

El programa de Miguel Guerro llevaba 7 años en el horario matinal de 6 a 8 de la mañana y será sustituido por un "conocido comentarista", según se informó. Se recuerda que el señor Juan Ramón Gómez Díaz es contratista de obras del Estado; y recientemente por presiones públicas le fue "tumbada" una obra que no fue licitada, sino entregada grado a grado.

No quisiéramos pensar que las manos de Danilo Medina, Leonel Fernández y su gobierno; estén detrás de todo esto, pues estaríamos ante un afán sin precedenntes de acallar las voces independientes del país, y quizás Guerrero solo sea la primera cabeza que rodará de un plan macabro de esta cleptocracia que nos desgobierna.

P.D. El periodista Cristian Jiménez, del grupo de comunicadores del gobierno, será la persona que ocupará el espacio de Miguel Guerrero en Digital 15.


Luis del Monte / Desde La República Dominicana

Diputados ponen a la gente de mojiganga



Teatro de calle
El legislador Marino Collante,  miembro de la comisión que  estudia el proyecto de Presupuesto 2012, advierte que es prácticamente imposible modificar  su contenido, como lo reclaman  diversas   instituciones  del Estado y la sociedad, por lo que  en la Cámara de Diputados se ha montado una farsa al  hacer creer que  se  discute una ley  que de antemano se sabe que no será modificada.

Si  censurable fue la actitud del Senado, de aprobar de urgencia esa pieza sin permitir ningún tipo de discusión, más criticable debe ser que  en la Cámara Baja se instale una carpa de gitanos para leer  la baraja a  quienes reclaman que se cambien partidas y se dirijan más recursos para sectores  vitales como  la educación, la Universidad Autónoma y los ayuntamientos.

¿Para qué escuchar durante horas y horas a  representantes de instituciones públicas  y de la sociedad civil, si  se sabe que el proyecto de Presupuesto del Estado será aprobado tal y como lo  envió el Poder Ejecutivo al Congreso?

Lo dicho por el legislador Collante (PRSC-Santiago), de que es prácticamente imposible que  los diputados modifiquen ese proyecto de Presupuesto  refleja una perniciosa dependencia del Poder Legislativo convertido para la ocasión en  teatro de calle.

Se reconoce que  la Cámara de Diputados ha hecho esfuerzo por guardar las apariencias  con el envío  a comisión de esa pieza, pero las enaguas quedaron al descubierto con  lo revelado por el legislador reformista, de que nada se cambiará, aunque  una larga fila de funcionarios,  dirigentes comunitarios, académicos y  alcaldes exponen sus objeciones  ante  una comisión farisea.

Lo deseable sería que   ese órgano legislativo  suelte amarras y procure  elaborar un informe  serio, objetivo, realista sobre  las modificaciones posibles que  se puedan hacer  a ese Presupuesto, sin poner en peligro su equilibrio ni el acuerdo  con el Fondo Monetario Internacional (FMI).

Se sabe que  el FMI exige una transferencia de fondos  al Banco Central en 2012 por 23 mil millones de pesos, que  el subsector eléctrico requerirá más de  700 millones de dólares, que se redujo el financiamiento a ese presupuesto de 96 mil millones en 2011 a 78 mil millones  el próximo  año y de que también se requiere que  el tope del déficit fiscal sea de 0.9 del PIB.

Los senadores y diputados debieron  abrir una discusión abierta sobre el contenido y perspectivas del Presupuesto del Estado de 2012, en vez de imponer  mayoría mecánica o poner a la gente de mojiganga, exponiendo sobre  un proyecto que no se va a modificar.
Editorial El Nacional
Caricatura: Cristian Hernández
http://elnacional.com.do/editorial/2011/10/14/98278/Teatro-de-calle

Accidente: antílope, bicicleta y casco protector

     Este insólito accidente ocurrió en África.


     Durante una competencia de ciclismo.


       De la nada y a toda velocidad un antílope embistió a un ciclista.


         Una colisión impensable a campo traviesa, pero sucedió.

        El impacto fue contundente y demoledor.


      Este chico salvó su vida de milagro.

      Gracias a su casco protector, el cual quedó destruido, puede contar su historia.

Aprenda la lección, cuando monte bicicletas, use su casco...¡podría salvarle la vida!
Marihal / Desde La República Dominicana
Fuente: Daily Mail / UK

Consejo sano a Hipólito Mejía


Hipólito Mejía tiene dos tareas en la búsqueda de una nueva presidencia: neutralizar las consignas con las que sus adversarios del gobierno lo enfrentan y emplazar a definirse a quienes dentro de su propia organización torpedean su candidatura, quemando los barcos como una vez hiciera Hernán Cortés, para indicar que sólo hay un camino y el que no esté de acuerdo sabrá a qué atenerse.

Los elementos con los que se ataca su propuesta electoral no deberían constituir problema alguno, por cuanto los niveles de insatisfacción actual son probablemente sus mejores armas. En su caso la vía más segura para dejar sin argumentos a sus contrincantes es un acto público de contrición. Un acto de fe.

Expresar públicamente su pesar y arrepentimiento por haber ofendido a la nación, no tanto a Dios, con la promesa de no repetir los errores del pasado, incluso enumerándolos, y un firme compromiso de combatir la corrupción, persiguiéndola y castigándola, y de entregar en el presupuesto del 2013 el 4% o más del PIB a la educación.

No necesita nada más. Y debería hacerlo con seriedad, con un discurso y la publicación de una doble página en los diarios, que no dejen dudas sobre sus reales intenciones, si en verdad esas intenciones existen y dominan su interés, porque en los círculos empresariales se comenta que él habría dicho en varias reuniones privadas que esta es una oportunidad para reivindicarse y reivindicar a su familia.

Con ello, no habría ya por donde atacarle y sólo quedaría un lado por donde intentar inhabilitarlo que es en el aspecto intelectual, tal vez un hándicap frente a las élites de la sociedad, pero sin sabor alguno en los grandes núcleos de población donde esa pretendida deficiencia es un atractivo que enardece a las multitudes y a aquellos que ven en un cambio de mando una esperanza nueva; una razón para no caer en la desesperación y el caos. Pero dudo que lo haga.
Miguel Guerrero
La Columna de Miguel Guerrero
El Caribe / http://elcaribe.com.do/site/opinion/culumnista/291065-la-columna-de-miguel-guerrero.html

Organismos financieros internacionales parcializados políticamente

Luis Alberto Moreno, director del Banco Interamericano de Desarrollo (BID), abraza al Presidente Leonel Fernández luego de su discurso de elogios sobre el manejo de la economía por parte del gobierno, delante, la Primera Dama, Margarita Cedeño de Fernández. Entre las perlas expresadas por el señor Moreno destaca la siguiente:  "Si hay un país que en un contexto de incertidumbre global ha mostrado el camino para enfrentar los vaivenes de la economía mundial ese país es República Dominicana". 

No sé si usted tendrá la misma percepción de quien escribe, pero los organismos financieros internacionales sin quererlo tal vez, demuestran una parcialidad y un favoritismo por las autoridades del partido del gobierno que raya en el fanatismo.

En cada ocasión que es necesaria están ahí para darle la mano al PLD.
No puede ser casualidad que cada vez que se necesite una declaración conveniente, una aprobación de un empréstito, un desembolso de emergencia o una dispensa allí aparecezcan el FMI, el BM, el BID o cualquier dependencia de éstos, para sacarlos de apuros.

Si estas actuaciones fueran en beneficio del país no tuvieran ninguna objeción, el problema es que parecen más políticas parcializadas hacia un grupo gobernante, que intenciones de buena fé con la República Dominicana.
Es posible que la hermandad que gobierna y manda sea del agrado de estas organizaciones porque son adictos a endeudar el país irresponsablemente, y ése es su trabajo, prestar para ganar intereses a largo plazo.

Sin embargo, no deja de llamar la atención la manera descarada que politizan en beneficio de un pequeño sector del país, en detrimento de las grandes mayorías.
Juan Santos / Desde La República Dominicana
Foto: El Día

jueves, 13 de octubre de 2011

Condenan a Víctor Méndez Capellán a RD$20 millones de indemnización


       El banquero Víctor Méndez Capellán

Teniente matador 2 menores en finca, a 20 años de cárcel
SANTO DOMINGO. - El Primer Tribunal Colegiado de la Provincia de Santo Domingo condenó este 4 de octubre de 2011 a 20 años de prisión al primer teniente de la Fuerza Aérea Nacional, Rafael Sierra Pérez, quien asesinó a dos jóvenes menores de edad que se bañaban en una finca propiedad del banquero Víctor Méndez Capellán, y luego escondió los cadáveres, la finca está ubicada en Santo Domingo Este.

Las víctimas fueron identificadas como los menores Jordi Stwart Demorizi, de 17 años, y Eduardo Miguel Cabrera, de 16 años, quienes residían en la Villa Panamericana de Santo Domingo Este.

Por su parte, el banquero Víctor Méndez Capellán, propietario de la finca donde ocurrieron los hechos fue condenado al pago de RD$20 millones de multa, por Responsabilidad Civil en los asesinatos, a los familiares de las víctimas.

El hecho ocurrió el siete de abril del 2010 en la comunidad de la Caleta del Municipio de Boca Chica. La sentencia puede ser apelada por las partes.


Juan Santos / Desde La República Dominicanan
4 de octubre de 2011


Condenan a Vimenca a pagar RD$20 millones por muerte de menores en su propiedad

Tras acoger una solicitud de la Fiscalía de la Provincia de Santo Domingo, fue condenado a  20 años de prisión un ex segundo teniente de la Fuerza Aérea Dominicana  encontrado culpable de la muerte de dos menores en una finca ubicada en La Caleta del  municipio de Boca Chica.

Rafael Sierra Pérez fue condenado por el Primer Tribunal Colegiado de la Provincia de Santo Domingo.

Los jueces encontraron a Sierra Pérez, culpable de matar a  los menores Eduardo Miguel Cabrera Santana y Yordy Rafael Stubbs Demorissi.

La sentencia también contempla que inmobiliaria VIMENCA, a nombre de quien están los terrenos, debe pagar una indemnización de 20  millones de pesos a los familiares de las víctimas.

El ex oficial fue  condenado luego que la Fiscalía de Santo Domingo demostró que el ex oficial mató a los jóvenes cuando estos se bañaban  en un pozo ubicado en los terreno bajo su cuidado propiedad Inmobiliaria  VIMENCA.

El hecho ocurrió el siete de abril del 2010 en la comunidad de la Caleta del Municipio de Boca Chica. La sentencia puede ser apelada por las partes.


Julia Ramírez
 El Caribe

Baninter: Leonel Fernández gastó US$1 millón



Hipólito afirma que Leonel gastó US$1 millón con la tarjeta de Baninter
SANTO DOMINGO, República Dominicana.-El candidato presidencial del Partido Revolucionario Dominicano (PRD), Hipólito Mejía, dijo que el presidente Leonel Fernández utilizó primero la tarjeta de Baninter, y gastó 1 millón de dólares.

El ex presidente respondió de esta manera a la pregunta de la ciudadana Lucenia Pichardo, la cual expresó que si se creía con calidad moral para combatir la corrupción cuando tiene a su alrededor a ex funcionarios que fueron señalados como corruptos.

Pichardo, que se identificó la coordinadora de la entidad Acción Juvenil, mencionó a Pedro Franco Badía, Fabio Ruiz, Pedro Julio Goico Guerrero (Pepe), Ángel Lockward, entre otros.

“A Pepe Goico, yo mismo le dije que fuera y se trancara. Luego se descubrió que esa misma tarjeta de crédito de Baninter la usaba Leonel Fernández, y que gastó 1 millón de dólares del dinero de Baninter”, dijo Mejía.

Asimismo, sostuvo que la mayoría de los funcionarios que fueron acusados de corrupción durante su gobierno, él mismo dispuso que fueran sometidos, fueron juzgados y condenados, y que luego el presidente Leonel Fernández los puso en libertad.

El ex presidente Mejía hizo referencia a los condenados por el caso del Plan Renove, que fueron indultados por el presidente Leonel Fernández, y la banquera Vivian Lubrano de Castillo, que fue beneficiada con un indulto sin que comenzara a cumplir su condena como copartícipe del fraude Baninter.

El candidato del PRD habló con los periodistas y ciudadanos representantes de organizaciones cívicas en el Segundo Diálogo con los Candidatos organizado por el ministerio de Administración y Personal y la ong Participación Ciudadana.



Carolina Batista
Acento

Bancos comerciales protegen evasores fiscales


Nos escribe desde Santiago de los Caballeros: Jean Carlos.
Su pregunta es ¿qué es lo que pasa con la banca comercial y la Dirección General de Impuestos Internos (DGII)?
Voy a explicarlo lo más sencillo posible, para que todos me entiendan. Si estoy equivocado que me rebata un entendido en la materia.

1- La banca comercial y el sector financiero en general reportan anualmente sus operaciones, en este reporte detallan sus activos, sus pasivos y sus beneficios.

2 - Estas cifras son avaladas por la Superintendencia de Bancos (SB) y por el Banco Central (BC).

3 - Dentro de los capítulos que se reportan están los pagos de intereses a los depositantes, cifras que aceptan como buenas y válidas la SB y el BC.

4 - Sucede que, apoyados en esos datos que ofrece el sector financiero y la banca comercial que oficializan la SB y el BC, la DGII detecta que hay una evasión del pago de impuestos* de más de 4 mil millones de pesos. En otras palabras, los que reciben sus intereses, beneficios, por el dinero a plazo fijo, han dejado de pagarle al Estado la astronómica suma de más de cuatro mil millones de pesos en un solo año. Si a esto sumamos los más de 18 mil millones de pesos que tienen de subsidios los ricos de este país, entonces estamos hablando de que el gobierno pierde en un ejercicio fiscal veintidos mil millones de pesos.
* Los intereses bancarios que gana un depositante pagan un 1% de impuestos al Estado.

5 -  La DGII lo que resolucionó fue que, la banca comercial retenga directamente el 1% que por ley deben pagar los intereses devengados por los ahorrantes, de manera que sea imposible el no pago de los impuestos.

6 - La banca comercial, esa oscura y poco transparente maquinaria de usura se opone a esto, porque, alegadamente viola el secreto bancario, lugar donde se esconden muchas indelicadezas.

7 - Inexplicablemente la SB y el BC apoyan a la banca comercial diciendo que de retener ellos (la banca) ese impuesto, el dinero se iría a las sombras, se escondería de las autoridades. En otras palabras nuestras autoridades monetarias prefieren la evasión de 4 mil millones de pesos, antes que violar el secreto bancario.

8 - No creemos en un fallo judicial en contra de la banca comercial y el sector financiero, quienes controlan la vida nacional a través de su dinero, nos referimos al Poder Ejecutivo, el Poder Legislativo y el Poder Judicial.

9 - Creemos que la actuación de la DGII está en lo correcto, no es posible que los ricos sigan evadiendo 4 mil millones de pesos anuales, aparte de recibir subsidios por 18 mil millones de pesos de parte del Gobierno.

Esperamos, Jean Carlos, que te haya quedado un poquito más entendible cuál es el conflicto banca comercial - sector financiero - Banco Central - Superintendencia de Bancos - Dirección General de Impuestos Internos.
John Goodman / Desde La República Dominicana
Caricatura: Mornw / The Miami Herald

Corrigiendo una desinformación


                                Giacomo Puccini.

El poeta francés Nicolás Boileau escribió : “La ignorancia siempre está dispuesta a admirarse”. La sentencia de este genial pensador me vino como relámpago a la mente tras escuchar a un comentarista de la radio referirse al tenor italiano Enrico Caruso como el mejor intérprete de “todos los tiempos” de Nessun Dorma (¡Que nadie duerma¡ ¡Que nadie duerma! ¡También tú, oh Princesa, en tu fría habitación), la famosa aria del tercer acto de Turandot, que Puccini no alcanzó a concluir.

                Nicolás Boileau.

“¡Caramba!”, me dije, “habrá sido en el más allá”, por cuanto el compositor falleció en 1924, tres años después de la muerte del cantante, sin haber terminado la obra. La ópera fue estrenada en La Scala de Milán el 25 de abril de 1926, bajo la conducción de Arturo Toscanini. El papel del príncipe Calaf le correspondió al  español Miguel Fleta, una de las más virtuosas voces líricas de la época. Los biógrafos de Puccini sostienen que Nessun Dorma fue ideada para ese cantante y el italiano Giacomo Lauri Volpi, a quienes Puccini consideraba como los dos mejores tenores de su tiempo.

                        Arturo Toscanini.

El aria, al comienzo del acto final, mientras amanece en Peking, está llena de simbolismo. Es una alabanza al amor, que exalta la victoria de éste sobre el odio. Que nadie duerma hasta que se sepa el nombre del joven héroe que corteja a la cruel princesa Turandot, por cuyo amor parece dispuesto a morir.


Como se sabe, Puccini no llegó a terminar la ópera, una de las más difíciles de interpretar, ya que exige recursos y técnicas vocales poco comunes. Se asegura que alcanzó a escribirla hasta el último dueto del tercer acto; pero no conforme con el libreto de ese pasaje decidió cambiarlo, muriendo en la tarea de un cáncer de garganta. Antes de morir hizo arreglos para que su amigo Ricardo Zandonai la concluyera, pero el mérito correspondió a Franco Alfaro por decisión que los biógrafos de Puccini atribuyen a su hijo.
Miguel Guerrero
La Columna de Miguel Guerrero
El Caribe / http://elcaribe.com.do/site/opinion/culumnista/290933-la-columna-de-miguel-guerrero.html

martes, 11 de octubre de 2011

Carta al Papa Pío XII (Pacelli) de Harry S. Truman


     Harry S. Truman

        Adolf Hitler y el Papa Pío XI

                            Papa Pío XII (Pacelli) y Adolf Hitler.

Washington, D.C.

Estimado Señor Pacelli:

Como bautista y como jefe ejecutivo de la más grande y poderosa nación del mundo, en la cual todos me llaman simplemente Señor Truman, no puedo dirigirme a Ud. como Su Santidad, título que solo pertenece a DIOS.

Nosotros, en los Estados Unidos de América, consideramos a todos los hombres iguales delante de Dios y nos dirigimos a ellos por sus verdaderos nombres. Por eso mismo es que me dirijo a ud. simplemente como señor Pacelli.

El pueblo que me eligió su Jefe Ejecutivo es una nación democrática, amiga de la paz, por lo tanto mi deber es conseguir la cooperación de aquellos que realmente hayan dado pruebas de desear la Paz y de trabajar para conseguirla, no de los que gritan paz y fomentan la guerra. No creo que Ud. ni su iglesia estén entre los que verdaderamente desean la paz y trabajan por ella.

En primer lugar, nuestros antepasados fundadores de esta gran nación, conocedores por la historia de la naturaleza de vuestra iglesia amante de la política y de la guerra, sentaron como principio de nuestro gobierno no permitir vuestra intromisión en nuestros asuntos de gobierno.

Aprendieron bien esa lección en la historia de Europa y, por eso, estamos convencidos de que nuestra democracia durará mientras no aceptemos vuestra intromisión, como lo hicieron los gobiernos de Europa a quienes enredasteis con vuestras doctrinas e intrigas políticas. Thomas Jefferson, uno de los mas sabios de nuestro país, dijo esto mismo cuando lo declaró: "La historia no nos muestra ningún ejemplo de pueblo alguno manejado por el clero que haya tenido un gobierno civil y libre".

Por eso es usted la última persona en el mundo que pueda enseñarme la forma de dirigir a mi pueblo por el camino de la paz.

Para refrescar su memoria le recordaré algunos hechos de su predecesor en el Vaticano el Papa Pío XI, el iniciador de toda agresión fascista en los tratados de Letrán, celebrados con Mussolini en 1929. Este fue el principio de la traición a la civilización cristiana. Fue este el comienzo de los horrores que sufrieron Europa y el mundo, cuyas consecuencias estamos sufriendo todavía.

                            Pío XI y Benito Mussolini

Un notable escritor e historiador de mi país, Lewis Munford (que no es comunista, ni odia a los católicos), escribió lo siguiente en su libro " Faith For Living", que publicó en 1940: "La traición al mundo cristiano se efectuó claramente en 1929 con el concordato celebrado con Mussolini y el Papa". Dice algo más: "Desafortunadamente los propósitos del fascismo están en gran conflicto con los de una república libre, como es la de los Estados Unidos de América.

En este tratado la Iglesia Católica...fue su aliada, una potente aliada, de las fuerzas de la destrucción".

En esa época muy pocos de los que vivimos en los Estados Unidos conocíamos la verdadera naturaleza del fascismo, como ud. y el Papa XI lo conocían, pues fueron los que fomentaron la guerra y aliaron su iglesia a él (el fascismo).

Usted mismo fue especialmente preparado, como joven sacerdote y como diplomático de la Iglesia, para el propósito específico de ayudar a Alemania a prepararse para la Guerra Mundial.

Usted y el Káiser urdieron en Suiza las intrigas contra los aliados durante la primera guerra mundial. Usted estuvo doce años en Alemania en donde tomó parte de la ascensión de Hitler al poder, habiendo celebrado acuerdos con él y con el execrado Von Papen, un segundo Papa, que ayudo a Hitler a tomar el poder y puso firma con la del Cardenal Eugenio Pacelli y la de Hitler en el Concordato con el Vaticano, firmado en 1933.

Nadie creerá jamás que usted ignorase el complot de Hitler y sus nazis estaban preparado contra nosotros. El propio biógrafo católico dice que ud. , durante esos años era " el hombre informado del Reich".

Después de la firma del Concordato por ud. y por Von Papen y de hacer aspersiones con agua bendita a Hitler dándole la " impresión" de que resucitaba, Von Papen, que logró escapar de Nuremberg, se jactaba en la siguiente forma: "el tercer Reich es el primer poder que no solamente reconoce sino que pone en práctica los altos principios del papado".

Vuestros cardenales y obispos bendijeron en Roma las armas de guerra de los soldados enviados contra indefensos etíopes. Vuestro cardenal Schuester, de Milán, proclamó el robo de Etiopia como una cruzada santa " para llevar en triunfo a Etiopía la Cruz de Cristo" . Mientras tanto sigue Ud. llamando a su iglesia "la iglesia de Dios" y pretende que yo, como jefe de un estado civil, le admita a Ud. como superior a mi y al pueblo de los Estados Unidos de América. Ud. habla con palabras melosas sobre justicia y al mismo tiempo hace sonar los tambores para otra guerra, tal vez más terrible que las dos ultimas, contra Rusia que nos ayudo a derrotar a Hitler y Mussolini.

Usted está incitando a los Estados Unidos para que cuando antes declare la guerra a Rusia, usando los mismos métodos empleados por Hitler para lograr la solidez de sus detestables y diabólicos regímenes.

Usted quiere que desperdiciemos nuestro dinero y que enviemos a nuestros jóvenes a una muerte horrible, que sobre los cadáveres de Hitler y de Mussolini terminemos la lucha que aquellos empezaron con ayuda suya y a quienes nosotros derrotamos. Si, Estados Unidos de América desean la paz, pues de todas las naciones solamente nosotros quedamos con alguna prosperidad y decencia.

Somos el baluarte de las libertades democráticas protestantes. Si nosotros, o la Inglaterra protestante, nos debilitásemos vuestra CULTURA CATÓLICA tendría una oportunidad para gobernar otra vez el mundo haciéndolo retroceder a la Edad Media. Si perdiésemos o nos debilitásemos con la guerra que ud. está provocando contra Rusia, fácilmente procuraría el Vaticano una alianza con ella. Su predecesor el Papa Pío XI , declaró públicamente que el haría pacto CON EL DIABLO MISMO , si conviniese a los intereses de la Iglesia. Por lo tanto, señor Pacelli, es mi deber como Jefe de este país predominantemente protestante, rechazar sus propuestas a guisa de alianza, de pacto de paz. "Los que comen en el plato en que el Diablo está comiendo, deben usar una cuchara muy larga".

Continuaré mi labor para lograr y mantener la paz como buen bautista, conservando los honrados principios protestantes que hicieron poderosa nuestra nación y trabajando por ellos.

Sinceramente suyo,

HARRY S. TRUMAN
PRESIDENTE DE LOS ESTADOS UNIDOS DE AMÉRICA


Fuente: Guido Riggio
Acento.com.do
http://www.acento.com.do/index.php/blog/1942/78/Carta-del-presidente-H-Truman-al-Papa-Pacelli-Pio-XII.html

Cirugía de los labios vaginales está de moda




Labioplastia reductora o ninfectomía
La labioplastia se recomienda a quienes tienen un tamaño anormal o asimétrico
Las anomalías pueden dificultar a veces las relaciones sexuales
El proceso de recuperación tras la cirugía suele ser de tres días
No se lleven a engaños. No es el aumento de pecho, ni la eliminación de las cartucheras o de las arrugas los tipos de cirugía estética que están en alza. Ahora, al parecer, lo que las mujeres desean es disminuir el tamaño de sus labios vaginales, una vieja petición de las actrices de películas pornográficas.

Al menos eso dicen las estadísticas. Según reconoce el Servicio Nacional de Salud británico, en los últimos diez años este tipo de intervención es cinco veces más frecuente. En nuestro país, y tal y como se ha puesto de manifiesto durante el Congreso de la Sociedad Española de Medicina Antienvejecimiento y Longevidad (Semal) celebrado en Madrid, las intervenciones cirugía estética íntima se han duplicado en los últimos cinco años. Entre las técnicas más demandadas están la lipoescultura del pubis o del monte de Venus, el estrechamiento vaginal, la reconstrucción del himen o la reducción de los labios vaginales.

Miguel Chamosa, vicepresidente de la Sociedad Española de Cirugía Estética y Reparadora (SECPRE), lo admite: "Hemos comprobado que se ha elevado la demanda de la cirugía vaginal. De la misma opinión es Juan Monreal, presidente de la Asociación Española de Cirugía Estética y Plástica (AECEP), que reconoce que "el número de solicitudes de este tipo de tratamientos ha aumentado, probablemente, debido a que se conoce más su existencia. No pienso que haya una mayor demanda por el famoso culto al cuerpo". Según sus cálculos personales, y "pese a que es difícil de estimar, ya que no se suelen incluir en muchas de las estadísticas, las intervenciones anuales de reducción de los labios vaginales anuales deben rondar las 100".

Conocida como labioplastia reductora o ninfectomía, se recomienda a mujeres que por razones congénitas u otras causas presenten labios vaginales mayores o menores de un tamaño anormal, asimétrico o colgante. "Yo prefiero hablar de proporción. Si los labios mayores son demasiado finos, por ejemplo, no cubren los menores entonces da la sensación de que son de mayor volumen", destaca el experto de la SECPRE.

Diversos motivos
Insiste, además, en que los motivos para "su remodelación son múltiples como la incomodidad al vestir prendas cada vez más ajustada o al llevar trajes de baño. También por molestias durante la práctica de deporte, como montar en bicicleta".

Puede ocurrir también que los "labios menores (aquellos que rodean el orificio de la vagina) se plieguen sobre sí mismo por su gran tamaño, dificultando en muchas ocasiones las relaciones sexuales. Pero pueden reducirse a un tamaño funcional y estéticamente más normal, sin que resulte problemático ni molesto y sin que pierdan su función protectora o su sensibilidad" puntualiza el doctor Monreal.

Formando parte de la unidad estética de los labios menores se encuentra el capuchón del clítoris. "Esta área de piel que recubre el clítoris puede tener también un tamaño más grande del adecuado protruyendo hacia el exterior a modo de pene. En ocasiones el capuchón y el propio clítoris se encuentran descendidos por debajo de su lugar ideal. Estas circunstancias descritas pueden e, incluso, deben ser corregidas si se detectan para poder conseguir un resultado adecuado", añade.

Pero la motivación estética es la que más empuja a las mujeres hacia la cirugía vaginal. "Lo demuestra el grado de satisfacción con la técnica en el 99% de las intervenidas", agrega el cuirujano Chamosa. Y también el hecho de que el primer estudio llevado a cabo sobre las verdaderas dimensiones de los labios vaginales de las que desean pasar por quirófano para modificarlos revele que todas tenían un tamaño considerado como normal.

Publicada en la revista 'An International Journal of Obstetrics and Gynaecology', "el ensayo se realizó con 33 mujeres que acudieron a un centro médico de ginecología de Londres demandando una labioplastia reductora. La media de edad fue de 23 años", se insiste en el trabajo. En dicho centro, la práctica clínica es la de intervenir a mujeres "a partir de los 18 años, cuya longitud de los labios sea mayor de 50 milímetros o con una marcada asimetría entre los superiores e inferiores de más de 30 mm".

"Para nosotros ha sido una sorpresa encontrar que las participantes tuvieran un tamaño normal de labios, pero lo más preocupantes fue ver la edad de alguna de las solicitantes, concretamente una niña de 11 años", reconoce Sarah Creighton, del Instituto de Salud de la Mujer de Londres y una de las autoras de la investigación.

El tamaño
Los datos revelan que todas poseían dimensiones normales, con una media de 26,9 mm del labio derecho y 24,8 mm; del izquierdo. Además, a tres de las participantes se les ofreció "la cirugía para hacer frente a una significativa asimetría de los labios. A 12 (40%) se les negó la intervención, aunque ellas reconocieron que seguirían solicitándola en otros centros médicos. Un total de 11 aceptó la recomendación de acudir a un psicólogo y una fue referida a los servicios de salud mental", comentan los investigadores británicos.

Otras conclusiones son las que hacen referencia a lo que las pacientes les gustaría lograr con la intervención. "La mayoría reconoció que deseaba mejorar la apariencia de los labios. Otros argumentos fueron: reducción de las molestias, aumentar la confianza en sí mismas y mejorar las relaciones sexuales". Bien planificada, "la intervención devuelve la confianza y la autoestima a las pacientes", apostilla el presidente de la AECEP.

La intervención, "cuyo precio oscila entre los 800 y los 2.500 euros dependiendo del tipo de intervención y del 'caché' del cirujano", según este experto, generalmente se realiza bajo anestesia local asociada a sedación, en régimen ambulante. El periodo de convalecencia, a adaptar a cada tipo de actividad laboral, suele ser breve, en torno a tres días, con revisiones más inmediatas a las 24 y 72 horas. El reinicio de relaciones es posible hacia las cuatro semanas.

Problemas éticos
Pese a que los propios investigadores británicos reconocen que dado que la "definición de un labio menor normal resulta problemática, el criterio para intervenir o no suele ser del cirujano. Por este motivo, y dado el aumento de estas intervenciones y la edad de algunas de las solicitantes, los resultados de este estudio plantean un dilema ético".

Para el vicepresidente de la SECPRE, "el desembarco de compañías comerciales que se mueven por intereses económicos y que 'operan por operar' es uno de los problemas para frenar las intervenciones estéticas que no son necesarias. Hay que moverse con principios éticos a la hora de aconsejar a las pacientes, algo que desafortunadamente se está perdiendo".

Muchas mujeres "estás solicitando la labioplastia con fines estéticos, lo que significa que el aumento de este tipo de intervención es potencialmente infinito, tal vez por ello se necesita de forma urgente la elaboración de protocolos, una responsabilidad que cae sobre los profesionales médicos y las sociedades", defienden los científicos británicos.

Para el doctor Chamosa se trata de una buena propuesta. "Creo que deben hacerse este tipo de protocolos, pero teniendo en cuenta en ellos muchas variables. Por ejemplo el tamaño de los labios dependerá también de la altura y peso de la paciente, por lo que no se pueden establecer longitudes cerradas".
Patricia Matey / Madrid
El Mundo.es
http://www.elmundo.es/elmundosalud/2011/10/10/sexualidad/1318256017.html

Frases célebres: Álvaro Arvelo Hijo [Alvarito] (10)


"El embajador de Israel en el país se cagó en República Dominicana".
+ Expresada hoy, a las 7;25 a.m., en su habitual espacio de el programa radial "El Gobierno de la Mañana. El embajador de Israel es el Sr. Moshe (Marco) Sermoneta.
 Juan Santos / Desde La República Dominicana

Leonel Fernández cumple promesa hecha en Nueva York

     Leonel Fernández en campaña política en Santiago.

El Presidente Leonel Fernández dio inicio en Santiago a su promesa hecha en Nueva York a sus acólitos y partidarios. Más de 20 camiones del Plan Social de la Presidencia, repartiendo fundas de alimentos, unidades de los Comedores Económicos, regalando comida cocida,  y él mismo, ordenando el asfaltado de las calles de las comunidades e instruyó a los funcionarios locales y nacionales a resolver los problemas de agua potable, de electricidad, ambulancia en hospitales y saneamiento de las cañadas, que fueron algunos de los reclamos planteados por los muníncipes.

Leonel Fernández dijo a sus partidarios que como no tenía impedimento del FMI, usaría RD$40 mil millones para mejorar la aceptación de su Gobierno, del PLD y lograr el triunfo de la candidatura presidencial de Danilo Medina. Es posible que este juego con la miseria del pueblo dominicano dé resultados en otro lugar, en Santiago ¡no! Santiago es Santiago, ¡la Ciudad Corazón!


Jeannelle Koss / Desde La República Dominicana
Foto y fuente: Listín Diario

lunes, 10 de octubre de 2011

Acabando en Japón: faldas con fotografías

 Esto que están presenciando es el último grito de la moda en Japón: faldas con fotografías impresas.

Las fotos son de alta resolución, que, a menos que usted se concentre muy bien, se dará cuenta que están en las faldas, y que no es piel humana.


Acaban de salir y se están vendiendo por millones, las chicas japonesas están de remate con este nuevo invento.

El costo de cada una de estas piezas es bien alto, pero se espera que a medida que aumenten los pedidos bajen su precio, por supuesto la calidad de la tela y el diseño influyen en el costo final.

Las fotos solo están en la parte de atrás de la falda, por el frente lucen una pieza común y corriente.

Son tan realistas, que han habido casos ya, donde señores mayores han tenido problemas cardíacos.

Miguel A. / Desde La República Dominicana

Cura párroco deplora derroche en Gobierno del dinero ajeno

        Manuel Bodenlle, párroco de la iglesia San Pablo Apóstol, del sector Cristo Rey.

El sacerdote Bondelle tiene la misma apreciación que tenemos en DLRD.
No entendemos como un desempleado, y ex empleado público como Danilo Medina derrocha recursos multimillonarios que nadie sabe de dónde salen. Ayer en la Región Sur se contaron más de 60 jeepetas con placas oficiales, combustible del Estado, y choferes de las dependencias oficiales. Los Comedores Económicos repartieron comida cocida y el Plan Social de la Presidencia estuvo presente. Estas son las palabras del párroco de la iglesia San Pablo Apóstol, de Cristo Rey; en su homilía del día de ayer:

1 - Deploró el derroche de dinero ajeno que exhiben funcionarios del Gobierno, mientras millones de dominicanos se mueren de hambre en barrios y comunidades campesinas.

2 - Criticó que un funcionario del área económica del Gobierno gastara una millonada en la boda de una hija, llamándolo "traidor de los pobres", del país y de su ideología.

3 - Condenó el que miles de personas no tienen para comer y viven paupérrimamente, mientras un grupo se llena los bolsillos, despilfarra los recursos del Estado y saca dinero para los bancos extranjeros.

4 - Exhortó a sus feligreses a unirse para cambiar el Sistema.

5 - Mostró indignación por la pobreza, la delincuencia y la violencia que impera en el país.
Lea las declaraciones completas en el reportaje de Juan M. Ramírez del diario Hoy, aquí.
John Goodman / Desde La República Dominicana
Foto: Hoy

sábado, 8 de octubre de 2011

En peligro los Simpson

Dan Castallaneta, quien hace la voz de Homero. Después de 22 años de transmisión los Simpson están en peligro. La cadena de televisión Fox alega que los altos costos de producción podrían dar al traste con la serie.

Hank Azaria es la voz de Apu Nahasapeemapetilon, Moe, el jefe Wiggum, el chico del Comic Book, Carl Carlson, Cletus Spuckler, Profesor Frink, Dr. Nick Riviera, Lou, Snake, Kirk Van Houten, el Capitán Mar, Superintendente Chalmers, Duffman y otros. Cada temporada tiene 22 capítulos, y cada una de las voces principales gana US$400 mil por episodio, para un total de US$8,880.000.00 por año.

Julie Kavner es la voz de Marge Simpson, Patty Bouvier, Selma Bouvier, Jacqueline Ingrid 'Jackie' Bouvier y Gladys Bouvier. La cadena Fox está solicitando una rebaja a US$250,000.00 por capítulo, pero los actores se niegan.

Nancy Cartwright es la voz de Bart, también de Nelson Muntz, Todd Flanders, Kearney, and Ralph Wiggum. Los Simpson tienen grabado 500 episodios, con la sindicalización de éstos, pudieran ganar una fortuna en las próximas décadas sin tener que invertir un centavo, amenaza la Fox.

Yeardley Smith es Lisa Simpson. Los Simpson están considerados como uno de los programas que más éxito han tenido en la historia de la televisión.

Marihal / Desde La República Dominicana
Fotos: Chicago Tribune





Dos años más: Firman Fox y actores
NUEVA YORK  — Los admiradoresde "Los Simpson" pueden respirar, la serie animada renovó su contrato por dos años más el viernes. 

Una disputa laboral entre los actores que hacen las voces de los personajes y la producción amenazó el futuro de la serie, pero Fox anunció que transmitirá su temporada 24 y 25.

La serie animada sobre la familia Simpson es el programa con guión de más larga duración en la televisión nocturna estadounidense. En su anuncio la cadena escribió una frase al estilo Homero: "¡Uhu! Duré más que Andy Rooney!"

Rooney se retiró de "60 Minutes" (60 Minutos) el domingo tras 33 años con el programa de CBS.

Las negociaciones sobre el futuro de "Los Simpson", que comenzaron su temporada 23 el mes pasado, se volvieron del dominio público. Twentieth Century Fox Television, que produce el programa, dijo que no podía continuar sin recortar costos y tenía en la mira a los salarios de los actores Harry Shearer, Dan Castellaneta, Julie Kavner, Nancy Cartwright, Yeardley Smith y Hank Azaria.

Cada actor gana ocho millones de dólares al año, según reportes, por su trabajo en la serie y Fox dijo que el programa no podía continuar sin recortar sus sueldos. El viernes Shearer dijo que los productores exigían un recorte del 45% .

Los términos del acuerdo con el elenco no fueron revelados. The Hollywood Reporter, que citó a fuentes no reveladas, dijo que los actores accedieron a un recorte del 30% para los 440.000 dólares que habrían recibido por cada uno de los 22 episodios de cada temporada.

Shearer le dijo a los productores que aceptaría un recorte del 70%, pero que a cambio los actores querían una "participación diminuta" de los miles de millones de dólares en ganancias que el programa ha recaudado por los derechos de transmisión de la serie y la venta de productos. Los creadores del programa, Matt Groening y James L. Brooks, tienen una participación en las ganancias, pero a los actores les han negado acceder a ellas.

Shearer dijo que sus representantes recibieron la respuesta de que "no hay circunstancias bajo las cuales la cadena consideraría dejar que yo o que cualquiera de los actores compartamos el éxito del programa".

Un vocero de Twentieth Century Fox Television, Chris Alexander, dijo el viernes que no tenía declaraciones al respecto de los comentarios de Shearer.

El vocero de Twentieth Century Fox Television, Chris Alexander, dijo el viernes que no tenía comentarios al respecto de las declaraciones de Shearer.

"Hemos tenido una gran trayectoria y nadie debería sentir lástima por nosotros", dijo Shearer, quien aceptó que su salario era "ridículo frente a cualquier estándar".

"Pero ante la cantidad de felicidad que le hemos dado a tanta gente a lo largo de los años, y ante los miles de millones de dólares en ganancias para News Corp. que ha generado el programa, y seguirá ganando, me parece difícil creer que esta es la postura final de Fox sobre el asunto", agregó.

News Corp. es la propietaria de los estudios Fox y el canal.

Existía la duda sobre si Fox y el estudio querían que continuara la serie. El sitio The Daily Beast, que fue el primero en reportar el conflicto por los salarios de los actores, dijo que el estudio no puede salir de sus acuerdos de transmisión actuales mientras se sigan haciendo nuevos episodios. Si el programa se cancela el estudio podría hacer acuerdos mucho mejores para el uso de los ingresos.
AP

viernes, 7 de octubre de 2011

Animales maltratados en RD



Insensibilidad ante los animales
Cada cierto tiempo un sector de la sociedad presiona para que en República Dominicana se apruebe una ley (y se cumpla) para la protección a los animales.

Lamentablemente todo queda en proyectos y se producen prácticas de abuso y crueldad contra los animales, sin que haya sanciones.
Nuestro subdesarrollo como nación lo manifestamos con la ausencia de políticas hacia los animales.

Los caballos no tienen quién los proteja. Los sobrecargan y los golpean en las vías públicas cuando son usados para la venta de mercancías. ¿Con qué derecho? Un simple triciclo serviría para sustituir a estos animales y eliminar esta práctica cruel.

Un perro es amarrado con una corta soga al cuello que  no le permite moverse, a veces bajo el sol y casi colgando. Nada lo prohíbe ni lo sanciona.

Animales criados para ser “sacrificados” (¿o asesinados?) son transportados como si fueran naranjas, unos encima de otros, bajo sol y sufriendo maltratos.

En las denominadas sociedades  civilizadas –a lo que debemos aspirar a llegar– no se permite la promoción de peleas de gallos.

Increíble que en el siglo XXI todavía hoy se promuevan las peleas de gallos. Nuestros legisladores deben envalentonarse y prohibir este cruel “deporte”. Hasta sé de un psiquiatra que acude a peleas de gallos. Tampoco parece justo que conviertan en adictos a cocaína a perros para destinarlos a buscar narcóticos y combatir el crimen.

Realmente no hay conciencia. Sí mucha insensibilidad. Un animal siente dolor y tristeza igual que usted y yo y que su hijo, si tiene.
En la más reciente campaña presidencial, el candidato del Partido Reformista Social Crisitiano, Amable Aristy Castro, lanzaba pollos vivos en sectores de personas pobres “a la garata con puño”.

El diputado Elpidio Báez tiene un proyecto para crear una legislación que permita una mayor protección a los animales. Esta pieza debe ser alimentada  y aprobada por el Congreso y mandar al … a ciertos sectores (como los galleros) que lo están bloqueando.

En medio de este patético panorama existen entidades como el Patronato de Protección de Animales, que dirige Leonor Porcela, y la Sociedad Dominicana de Prevención contra la Crueldad Animal, que tesoneramente trabajan aquí por un mundo con más sensibilidad.

También, recientemente, un grupo de jóvenes comunicadores,  de los que recuerdo a la abogada y comunicadora Leila Mejía, lanzó una campaña de protección a los animales, y asistió a las vistas públicas en el Congreso para exigir que se legisle contra la desprotección a los animales.

Hay que continuar la presión para que se haga conciencia sobre lo que no podemos hacer con los animales.
Enfry Willian Taveras
El Caribe
Imagen: http://nuevomundoprana.blogspot.com
http://elcaribe.com.do/site/opinion/culumnista/290330-insensibilidad-ante-los-animales--enfry-wilian-taveras.html